Conçue et réalisée par un Podologue, Elle est fabriquée en france depuis 1992. C'est un instrument qui élimine en douceur les callosités disgracieuses, sans aucun risque de coupure.

• Sa dimension de 27cm avec son large manche vous permet une utilisation facile.
• L'application d'une crème hydratante complète parfaitement le ponçage.

• Finies les callosités qui accrochent les collants !
• Nettoyage : laver sous l'eau du robinet.
• Desinfection : spray désinfectant ou tremper dans un liquide désinfectant.
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• Depuis sa création, nous avons développé notre gamme de râpes, déclinée en de nombreuses formes et couleurs, il y aura toujours celle qu'il vous faut.
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• Nouvelle methode de nettoyage pour un usage essentiellement professionnel, elle peut être plongée dans un bain désinfectant pendant 15 minutes. Le nouveau collage de notre abrasif est entièrement résistant au trempage. Vous pouvez aussi utiliser régulièrement un spray désinfectant.
• Podorape gardera son bel aspect, sa robustesse et toute son efficacité très longtemps, même lors d'une utilisation intensive.

• Podorape est vendue depuis plus de 15 ans dans les Pharmacies, Parfumeries, Grands Magasins en France et à l'étranger.
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• Elle est également distribuée dans les salons d'esthétique et magasins de cosmétique.
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Si faire du pied à quelqu'un n'est attesté sous cette forme qu'au XXème siècle, les jeux de chevilles, frôlements de souliers, et autres pressions d'orteils discrets sous les tables en témoignage de désir caché, sont vieux comme les banquets, et constants dans l'histoire des amours naissances ou clandestines. Les voici dans la visite d'un moine du XVème siècle faisant collassion chez un hôte qui, pour être averti, en valait deux : "frère Eustache, qui ne savait pas l'intention de son hôte, fit assez bonne chère dessous son chaperon. Et quand il voyait son poing, il prétait ses yeux à l'hotesse, sans épargner par dessous la table le gracieux jeu de pieds, de quoi se percevait et donnait très bien garde l'hôte, sans en faire semblant".

Ce faisant, il est toujours bon de veiller à ce que le partenaire n'aille pas trop vous mercher sur les peids ; on sait où cela commence, on ne sait pas où cela peut finir.

Il s'agit véritablement ici d'une expression vedette du dernier tiers deu XXème siècle, le mot de passe de toute une génération lève-tabou, qui a vu son épanouissement autour des "événements" de mai 1968. Il est assez remarquable que cette expression, de construction banale après tout, qui a pris naissance dans le milieu des voyous, ait circulé si longtemps - un demi siècle au moins - dans les profondeurs de l'argot et de la langue verte des "zonards" pour exploser soudainement dans le grand public et devenir un mot symbole pendant les décennies 1970-1980. C'est sans doute qu'elle touchait brusquement une archétype, en se remotivant dans l'inconscient collectif par l'image du bébé heureux qui s'empare de son petit pied pour le sucer, aussi bien que par celle de la femme, que relevait déjà Aristophane, dans Lysistrata, qui saisit son pied au moment de la jouissance sexuelle.

Les expressions concernant notre support naturel se comptent par douzaine. Lorsqu'on dit : "ça lui fera les pieds", on espère que l'épreuve que doit subir la personne va la dresser, lui "apprendre à vivre". Cela est banal mais je pense qu'il y a la une allusion aux longues marches forcées du fantassin dont les pieds sont, suivant la formule consacrée au temps de service militaire obligatoire, "l'objet de soins constant !".

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